Les provinces s’inquiètent de l’expansion de l’aide médicale à mourir pour des troubles mentaux, selon Holland
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Le ministre de la Santé, Mark Holland, a déclaré que certains de ses homologues provinciaux s’inquiètent de la volonté du Canada d’étendre l’aide médicale à mourir aux personnes atteintes de maladies mentales graves.
Une commission parlementaire a examiné si le système de santé était prêt à élargir l’aide à mourir
Le ministre de la Santé, Mark Holland, a déclaré que certains de ses homologues provinciaux s’inquiètent de la volonté du Canada d’étendre l’aide médicale à mourir aux personnes atteintes de maladies mentales graves.
Holland a fait part de ses commentaires lors d’une retraite du cabinet libéral quelques semaines seulement avant que le gouvernement fédéral ne doive décider s’il va de l’avant ou retardera la mise en œuvre une deuxième fois.
L’aide médicale à mourir est légale au Canada depuis 2016, mais les personnes dont le seul problème sous-jacent est un trouble mental n’y sont pas actuellement admissibles.
Le Parlement a approuvé le projet de lever cette restriction, mais a décidé d’attendre jusqu’en mars face aux inquiétudes généralisées quant aux conséquences possibles.
Un comité mixte de parlementaires a étudié si le système de santé est préparé au changement, et ses conclusions sont attendues la semaine prochaine.
Holland a déclaré qu’il était logique d’attendre leurs recommandations, mais a noté que le gouvernement devra ensuite prendre des mesures rapides.
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