Jusqu’à 900 travailleurs étrangers viendront à Windsor pour aider à construire une usine de batteries pour véhicules électriques, selon NextStar au milieu de réactions négatives
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Au milieu des réticences suscitées par les projets de recours à des travailleurs étrangers, NextStar Energy a confirmé qu’elle souhaitait embaucher des centaines de techniciens sud-coréens pour aider à mettre en place l’usine de batteries pour véhicules électriques subventionnée par le gouvernement à Windsor, en Ontario.
La société a annoncé jeudi qu’au total, environ 1.600 fabricants d’équipements provenant de fournisseurs extérieurs assembleraient, installeraient et testeraient les équipements nécessaires à la fabrication des batteries, y compris un « personnel de fournisseur mondial spécialisé temporaire » d’environ 900 personnes, en grande partie originaires de Corée du Sud.
C’est la première fois que l’entreprise commente le nombre de travailleurs qu’elle souhaite au Canada pour travailler sur le projet, à la suite des réactions négatives suscitées par une publication sur les réseaux sociaux partagée par la police de Windsor qui suggérait que la ville accueillerait 1 600 personnes de Corée du Sud en 2024. .
NextStar a déclaré que les techniciens sud-coréens avaient des “connaissances spécifiques” de l’équipement de pointe.
“Une fois leur travail terminé (d’une durée de trois mois à un an et demi), ils rentreront chez eux. Il ne s’agit pas d’emplois permanents à temps plein”, a indiqué l’entreprise dans un communiqué dans l’après-midi.
NextStar a déclaré que ces 1 600 emplois temporaires pour installer l’équipement s’ajoutent aux 2 500 postes permanents à temps plein pour les Canadiens et aux 1 600 autres embauches temporaires de la main-d’œuvre canadienne pour construire l’usine.
Ces rapports ont incité le chef conservateur Pierre Poilievre à demander une enquête sur l’embauche à l’usine en raison du niveau élevé d’investissement du gouvernement.
L’installation prévue est le résultat d’un partenariat entre Stellantis et la société sud-coréenne LG Energy Solution. Ce sera le premier du genre au Canada et bénéficiera de 15 milliards de dollars d’allégements fiscaux.
Plus tôt cette semaine, les ministres fédéraux, dont François-Philippe Champagne, ministre de l’Innovation, de la Science et de l’Industrie, ont contesté le chiffre de 1 600 travailleurs.
Champagne a déclaré qu’il s’attendait à ce qu'”un nombre assez restreint” de travailleurs étrangers soient nécessaires au lancement de l’usine de batteries.
Le Canada a un accord de libre-échange avec la Corée du Sud qui permettrait aux travailleurs de venir au Canada indépendamment du processus d’embauche de travailleurs étrangers temporaires.
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