Le cabinet libéral organise une retraite la semaine prochaine avant le retour du Parlement
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Une inflation persistante et d’intenses divisions intérieures sur le conflit Israël-Hamas menacent lourdement les libéraux fédéraux alors que les ministres se préparent à se rencontrer pendant trois jours à Montréal la semaine prochaine.
Le premier ministre Justin Trudeau prévoit présider la retraite du cabinet à partir de dimanche pour préparer son gouvernement au retour du Parlement une semaine plus tard.
L’abordabilité du logement et le coût de la vie restent les problèmes les plus critiques pour le gouvernement, qui n’a pas encore trouvé de moyen de contrer les affirmations des conservateurs selon lesquelles les politiques libérales sont responsables de la crise économique.
Les tensions restent vives au Moyen-Orient. Ottawa a négligé de prendre une position claire sur l’affaire du génocide contre Israël devant la Cour internationale de Justice et est accusé de ne pas en faire assez pour endiguer une vague croissante d’antisémitisme dans son pays.
Les libéraux restent loin derrière les conservateurs dans les sondages, les Canadiens faisant preuve d’une confiance limitée dans la capacité de ce gouvernement à résoudre certains des problèmes majeurs.
L’entente entre le gouvernement minoritaire et le NPD semble solide, mais les libéraux doivent encore trouver un moyen de sortir de l’impasse avec ce parti concernant un programme national d’assurance-médicaments avant l’échéance du printemps.
L’assurance-médicaments est l’une des principales revendications du NPD en échange de son soutien lors des votes clés jusqu’en juin 2025, mais un plan initial visant à mettre en place une législation d’ici la fin de 2023 ne s’est pas concrétisé.
Au lieu de cela, les deux parties ont convenu de repousser le délai. La législation doit être présentée début mars.
La politique environnementale fera également l’objet de discussions plus approfondies à la suite de températures chaudes record en décembre liées au changement climatique et d’une vague de froid dans l’Ouest canadien ce mois-ci qui a contribué aux pénuries d’électricité en Alberta.
Trudeau a également déclaré mardi dans un communiqué de presse que la prochaine élection présidentielle aux États-Unis serait à l’ordre du jour alors que le Canada se prépare à la possibilité d’une autre présidence de Donald Trump.
Trump a remporté haut la main les caucus de l’Iowa lundi dans la course pour devenir le candidat républicain à la présidentielle de novembre, et de nombreux sondages nationaux aux États-Unis le placent globalement devant le président Joe Biden.
Trudeau a été premier ministre canadien tout au long du premier mandat de quatre ans de Trump et les relations ont été parfois extrêmement difficiles, avec des différends sur les tarifs douaniers sur l’importation d’acier et d’aluminium que le gouvernement de Trump a imposés sur les produits canadiens.
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