Trudeau dit que le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador cède aux pressions politiques concernant l’augmentation de la taxe sur le carbone
[ad_1]
Le premier ministre Justin Trudeau a déclaré que l’appel du premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, Andrew Furey, à retarder la taxe sur le carbone est un signe qu’il cède aux pressions politiques.
“Je pense que M. Furey continue de céder à la pression politique”, a déclaré Trudeau en réponse à une question sur la position de Furey lors d’un événement à Montréal vendredi matin. “Je pense que les Canadiens de Terre-Neuve-et-Labrador et de partout au pays s’attendent à ce que leur gouvernement fasse ce qui s’impose.”
Trudeau a déclaré que cela signifiait lutter contre le changement climatique et stimuler l’innovation technologique. Il a déclaré que la réduction de la taxe sur le carbone était financièrement avantageuse pour environ huit Canadiens sur dix.
“Ce sont des mathématiques de base”, a-t-il déclaré.
Les remarques de mercredi marquent une nouvelle bagarre dans la guerre des mots entre les deux compatriotes libéraux, qui a commencé lorsque Furey a partagé mardi une lettre ouverte appelant au report de l’augmentation prévue de la taxe sur le carbone le 1er avril. Furey est le seul premier ministre provincial libéral restant.
La taxe fédérale sur le carbone passera de 65 $ la tonne à 80 $ le 1er avril, soit une augmentation d’environ 25 pour cent.
Trudeau a fait face à des pressions de la part des provinces et des territoires – qui utilisent tous au moins une partie du système fiscal fédéral, à l’exception de la Colombie-Britannique, du Québec et des Territoires du Nord-Ouest – pour retarder l’augmentation prévue.
“Supprimer le prix de la pollution, ou le stabiliser là où il est, signifierait en réalité moins d’argent dans les poches de huit Canadiens sur dix dans les juridictions où il est imposé, ce qui n’a aucun sens”, a déclaré Trudeau mercredi.
Le bureau du premier ministre Furey n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaires.
La taxe sur le carbone a peut-être été l’objet le plus important de la critique conservatrice du gouvernement en place, le chef de l’opposition Pierre Poilievre appelant régulièrement à l’abandon de cette politique lors des rassemblements en faveur de la suppression de la taxe à travers le pays.
[ad_2]